Accueil / French National Plan for research and innovation / Ferme pilote d'expérimentation de Trinay Ferme pilote d'expérimentation de Trinay  Loiret Ferme Pilote d'Expérimentation suivie par l’ITB  Agriculture conventionnelle   Suivi des essais : Année 2022 PRÉSENTATION DE L'ESSAI Levier testé : plantes compagnes  L’objectif des plantes compagnes est de limiter les populations de pucerons sur betteraves (attractivité, obstacle physique, niche pour les auxiliaires) mais elles peuvent aussi concurrencer la betterave si elles sont trop développées ou détruites tardivement. L’avoine précoce et la féveroles sont les espèces de plantes compagnes testées sur cet essai.  Modalités testées sur l’essai : Sans plantes compagnes  Betteraves associées à des féverole  Betteraves associées à de l'avoine précoce  Toutes les modalités sont dédoublées avec une partie de l'essai recevant une protection aphicide, et l'autre partie non protégée QUE RETENIR DE CET ESSAI ?  Cette section sera complétée à la fin de l'essai. DÉROULEMENT DE LA CAMPAGNE :  4 mars : semis des plantes compagnes L'avoine précoce a été semée à une densité de 13 kg/ha  et la féverole à une densité de 70 kg/ha  9  mars : semis des betteraves Les betteraves ont été semée avec la variété NTS 6975 N  à une densité de 1,2 U/ha Développement des plantes compagnes L'avoine n'a pas bien levé. 19 avril : suivi des populations de pucerons Très peu de pucerons ont été observés sur les betteraves. Année 2021 PRÉSENTATION DE L'ESSAI Levier testé : plantes compagnes  L’objectif des plantes compagnes est de limiter les populations de pucerons sur betteraves (attractivité, obstacle physique, niche pour les auxiliaires) mais elles peuvent aussi concurrencer la betterave si elles sont trop développées ou détruites tardivement. L’avoine Océane est l’espèce de plante compagne testée sur cet essai.  Modalités testées sur l’essai : Betteraves associées avec aphicide Betteraves seules avec aphicide Betteraves associées sans aphicide Betteraves seules sans aphicide QUE RETENIR DE CET ESSAI ?  Une réduction des populations de pucerons dans les betteraves associées à l’avoine par rapport aux betteraves seules et sans traitement aphicide, malgré un développement assez mitigé de l’avoine. Pas d’effet des plantes compagnes sur la jaunisse qui est très présente sur ce site. Pas d’évaluation de l’impact des plantes compagnes sur le rendement à cause d’un resemis. En expérimentation, les résultats peuvent être différents d’un essai à l’autre. Il faut donc se baser sur un ensemble d’essais pour conclure sur l’effet d’un levier. DÉROULEMENT DE LA CAMPAGNE :  2 mars : semis de l’avoine L’avoine Océane est semée à une densité de 20kg/ha. D’autres essais conduits en 2021 ont testé une densité de semis plus élevée pour augmenter l’effet sur les pucerons. 22 mars : semis des betteraves Les betteraves sont semées le 22 mars 2021, soit 20 jours après le semis de l’avoine. Elles ont subi des dégâts de gel, un resemis a donc été réalisé le 15/04/2021. Dans la partie associée à l’avoine, les betteraves sont hétérogènes au niveau de leur développement car celles du premier semis n’ont pas pu être détruites. Développement de l’avoine Le gel a aussi endommagé l’avoine qui est assez hétérogène et peu développée sur ce site. La densité de l’avoine à la levée est de 32 pieds/m². 18 mai : suivi des populations de pucerons Les premiers comptages de pucerons ont commencé le 18 mai 2021 et les pucerons verts étaient déjà présents à cette date, avec, en moyenne, 10 pucerons pour 30 betteraves.  Deux autres comptages ont été réalisés en juin. Globalement, il y a eu moins de pucerons sur les betteraves associées que dans les betteraves seules et sans traitement aphicide. 17 juin : destruction de l’avoine Compte-tenu de son développement, l’avoine ne présentait pas un risque de concurrence important pour les betteraves. Elle a donc été détruite tardivement, pour profiter de son effet potentiel sur les pucerons jusqu’aux stades de fin de sensibilité des betteraves. 20 octobre : récolte des betteraves Sur cet essai, 30 à 40 % de surface en betteraves a été touchée par la jaunisse mais aucune différence n’a été observée entre les betteraves seules et les betteraves associées.  L’effet de l’avoine sur le rendement des betteraves n’a pas été évalué à cause du resemis. Pour aller plus loin : Télecharger la fiche projet FPE Toutes les FPE Remonter en haut de la page

  Accueil / French National Plan for research and innovation / Ferme pilote d'expérimentation de Nojeon-en-Vexin Ferme pilote d'expérimentation de Nojeon-en-Vexin  Eure Ferme Pilote d'Expérimentation suivie par l'ITB Agriculture conventionnelle   Suivi des essais : Année 2022 PRÉSENTATION DE L'ESSAI Levier testé : Plantes compagnes  L’objectif des plantes compagnes est de limiter les populations de pucerons sur betteraves (attractivité, obstacle physique, niche pour les auxiliaires) mais elles peuvent aussi concurrencer la betterave si elles sont trop développées ou détruites tardivement. La féverole, l'orge de printemps, l'avoine tardive et la vesce sont les espèces de plantes compagnes testées sur cet essai.  Modalités testées sur l’essai : Betteraves seules Betteraves associées à la féverole  Betteraves associées à l'orge de printemps  Betteraves associées à l'avoine tardive  Betteraves associées à la vesce velue  QUE RETENIR DE CET ESSAI ?  Cette section sera complétée à la fin de l'essai. DÉROULEMENT DE LA CAMPAGNE :  Semis des plantes compagnes La féverole  a été semée le 03 mars à une densitée de 70kg/ha, l'avoine de printemps a été semée à une densité de 13 kg/ha et la vesce velue à une densité de 8kg/ha, l'orge de printemps a été semé le 22 mars à une densité de 30 kg/ha 24 mars : semis des betteraves Les betteraves ont été semées avec la variété Calledia KWS à 1,2 U/ha Développement des plantes compagnes L'avoine ne s'est pas levée. Année 2021 PRÉSENTATION DE L'ESSAI Levier testé : Plantes compagnes  L’objectif des plantes compagnes est de limiter les populations de pucerons sur betteraves (attractivité, obstacle physique, niche pour les auxiliaires) mais elles peuvent aussi concurrencer la betterave si elles sont trop développées ou détruites tardivement. L’avoine Océane, la féverole et la vesce pourpre Titane sont les espèces de plantes compagnes testées sur cet essai.  Modalités testées sur l’essai : Betteraves associées avec aphicide Betteraves seules avec aphicide Betteraves associées sans aphicide Betteraves seules sans aphicide QUE RETENIR DE CET ESSAI ?  Une réduction des populations de pucerons dans les betteraves associées à l’avoine et à la féverole par rapport aux betteraves seules.  Moins de symptômes de jaunisse dans les betteraves avec des plantes compagnes (avoine, féverole).  Pas d’effet des plantes compagnes sur le rendement betteravier.  En expérimentation, les résultats peuvent être différents d’un essai à l’autre. Il faut donc se baser sur un ensemble d’essais pour conclure sur l’effet d’un levier.    DÉROULEMENT DE LA CAMPAGNE :  2 mars : semis des plantes compagnes Les plantes compagnes ont été semées à une densité de 20 kg/ha pour l’avoine Océane et la vesce pourpre Titane, et à 80 kg/ha pour la féverole.   23 mars : semis des betteraves Les betteraves ont été semées 3 semaines après le semis des plantes compagnes Développement des plantes compagnes La densité de l’avoine à la levée est de 56 pieds/m², ce qui est plutôt correct comparé aux autres sites. La féverole s’est bien développée, et la vesce a mal tenu le programme de désherbage des betteraves mais n’a pas totalement été détruite.  11 mai : arrivée des pucerons Les pucerons sont arrivés sur la parcelle le 11 mai. A cette date, il y avait déjà 2 pucerons par betterave en moyenne. Trois autres comptages ont été réalisés. Globalement, il y a eu moins de pucerons sur les betteraves associées à l’avoine et à la féverole que dans les betteraves seules. Cet essai met aussi en évidence un effet intéressant de la combinaison plantes compagnes et aphicides.  27 mai : destruction des plantes compagnes L’avoine a été détruite le 27 mai en raison d’une concurrence visuelle qui commençait à apparaître. La féverole et la vesce ont été détruites plus tardivement, le 08 juin au Lontrel. Récolte des betteraves Sur cet essai, 30 % de surface en betteraves a été touchée par la jaunisse dans le témoin, moins de 10% avec les plantes compagnes.  La récolte des betteraves a été réalisée le 18 octobre 2021. Il n’y a pas eu d’effet des plantes compagnes sur le rendement des betteraves.      Pour aller plus loin : Télecharger la fiche projet FPE Toutes les FPE Remonter en haut de la page

  Accueil / French National Plan for research and innovation / Ferme pilote d'expérimentation de Craonne Ferme pilote d'expérimentation de Craonne  Aisne Ferme Pilote d'Expérimentation suivie par l'ITB Agriculture conventionnelle   Suivi des essais : Année 2022 PRÉSENTATION DE L'ESSAI Levier testé : plantes compagnes  L’objectif des plantes compagnes est de limiter les populations de pucerons sur betteraves (attractivité, obstacle physique, niche pour les auxiliaires) mais elles peuvent aussi concurrencer la betterave si elles sont trop développées ou détruites tardivement. La féverole et l'avoine rude sont les espèces de plantes compagnes testées sur cet essai.  Modalités testées sur l’essai : Betteraves seules Betteraves associées à des féverole, Betteraves associées à l'avoine. Toutes les modalités sont dédoublées avec une partie de l'essai recevant une protection aphicide, et l'autre partie non protégée DÉROULEMENT DE LA CAMPAGNE :  23 mars : semis des plantes compagnes L’avoine rude a été semée à une densité de 15kg/ha et la féverole à été semée à une densité de 70 kg/ha sur des bandes de 36 mètres sur 350 mètres. 24 mars : semis des betteraves Développement des plantes compagnes La levée des plantes compagnes a été bonne. La densité de féveroles levées a atteint les 28 pieds/m² et l'avoine 86 pieds/m² Développement des betteraves  La population de betteraves est correcte avec en moyenne 102 000 betteraves/ha.  30 avril : suivi des populations de pucerons A cette date, quelques pucerons noirs et verts ont colonisé la parcelle.  Année 2021 PRÉSENTATION DE L'ESSAI Levier testé : plantes compagnes  L’objectif des plantes compagnes est de limiter les populations de pucerons sur betteraves (attractivité, obstacle physique, niche pour les auxiliaires) mais elles peuvent aussi concurrencer la betterave si elles sont trop développées ou détruites tardivement. L’avoine et la vesce pourpre sont les espèces de plantes compagnes testées sur cet essai.  Modalités testées sur l’essai : Betteraves associées  Betteraves seules  QUE RETENIR DE CET ESSAI ?  Aucun effet sur les populations de pucerons en raison du faible développement des plantes compagnes testées.  Très faible pression en jaunisse sur le site.  Un rendement moins bon dans la partie associée comparée au témoin.  En expérimentation, les résultats peuvent être différents d’un essai à l’autre. Il faut donc se baser sur un ensemble d’essais pour conclure sur l’effet d’un levier. DÉROULEMENT DE LA CAMPAGNE :  2 mars : semis des plantes compagnes L’avoine Océane et la vesce pourpre Titane ont été semées à une densité de 20 kg/ha.  24 mars : semis des betteraves Les betteraves ont été semées une vingtaine de jours après le semis des plantes compagnes.  Développement des plantes compagnes La levée de l’avoine a été assez mauvaise avec une densité de 12 pieds/m². La vesce n’a pas tenu le programme de désherbage.  26 avril : suivi des populations de pucerons Les comptages de contrôle ont commencé le 26 avril 2021. Les premiers pucerons verts ont été observés le 10 mai à des effectifs faibles.  Globalement, autant de pucerons sont retrouvés dans les betteraves avec plantes compagnes que sans plante compagne.  6 juin : destruction des plantes compagnes La destruction de l’avoine a dû être retardée du fait des conditions peu propices à une bonne efficacité de l’antigraminée. Compte-tenu de son faible développement, la vesce n’a pas été détruite.  13 octobre : récolte des betteraves Sur cet essai, la pression en jaunisse a été très faible.  Le rendement des betteraves était moins bon dans la partie associée à l’avoine avec une perte d’environ 24 t/ha.  Pour aller plus loin : Télecharger la fiche projet FPE Toutes les FPE Remonter en haut de la page

  Accueil / French National Plan for research and innovation / Infrastructures agroécologiques 2 (IAE-2) Infrastructures agroécologiques 2 (IAE-2) Évaluation multi-échelles de l’efficacité d’infrastructures agroécologiques (IAE) pour renforcer le contrôle biologique des pucerons vecteurs des jaunisses de la betterave AXES DU PNRI       Axe 2 - Identification et démonstration de solutions à l’échelle de la culture Axe 3  - Identification et démonstration de régulation à l'échelle de l'environnement des plantes, des cultures et des paysages LEVIERS MOBILISÉS Agroécologie |  Régulation biologique​​​​ |  Auxiliaires RÉSUMÉ L'objectif principal de ce projet est l’évaluation contextuelle de l’efficacité de différents types d’IAE (Infrastructures Agroécologiques) au service de la régulation des populations des principaux pucerons vecteurs de viroses, Myzus persicae et Aphis fabae , et de la protection de leurs ennemis naturels en culture betteravière. Nous proposons un dispositif expérimental à grande échelle permettant d’évaluer la pertinence de ce levier agroécologique de gestion des viroses, en nous appuyant notamment sur le réseau des Fermes Pilotes. Nous souhaitons également asseoir les bases mécanistiques de cette approche en élucidant plus finement les processus impliqués et leurs interactions avec les contextes climatiques et paysagers variés qui composent la zone de culture de la betterave à sucre. Ces approches à différentes échelles associées à une meilleure compréhension des processus en jeu pourront contribuer à proposer une diversification des paysages de grande culture intensive afin d’y restaurer des fonctionnalités écologiques. ACTIONS DU PROJET Action 1 : Quantification du contrôle biologique et évaluation de l’efficacité des IAE (bande fleurie, bande enherbée) à l'échelle parcellaire a.    Tâche 1 : Caractérisation de l’effet des IAE sur la dynamique des populations des pucerons vecteurs et service rendu par les ennemis naturels b.    Tâche 2 : Effets des IAE sur les interactions trophiques réalisées par la communauté des ennemis naturels, mesurée par quantification moléculaire c.     Tâche 3 : Quantification de la contribution des ennemis naturels spécialistes et généraliste) à la régulation des pucerons, par des dispositifs d'exclusion différentielle Action 2 : Analyse corrélative à large échelle des effets des IAE sur la présence de pucerons, de leurs ennemis naturels, et des symptômes de jaunisse, selon le contexte climatique et le type de paysage avoisinant les parcelles   Consulter la fiche de ce projet Télécharger Informations techniques Chef de file :   Durée du projet : 21 mois Début de projet : Avril 2022 Partenaires financés :  Université de Picardie Jules Verne ,   CNRS Autre partenaire : ITB Projets en lien :   fermes pilotes d'expérimentation , modélisation paysagère Chefs de projet : Anne Le Ralec : anne.leralec(at)agrocampus-ouest.fr   Remonter en haut de la page

  Accueil / French National Plan for research and innovation / Infrastructures agroécologiques (IAE) Infrastructures agroécologiques (IAE) Étude de faisabilité de l’évaluation multi-échelles de l’efficacité d’infrastructures agroécologiques (IAE) pour renforcer le contrôle biologique des pucerons vecteurs des jaunisses de la betterave AXES DU PNRI       Axe 2 - Identification et démonstration de solutions à l’échelle de la culture Axe 3  - Identification et démonstration de régulation à l'échelle de l'environnement des plantes, des cultures et des paysages LEVIERS MOBILISÉS Agroécologie |  Régulation biologique​​​​ |  Auxiliaires RÉSUMÉ L'objectif principal de ce projet est de réaliser une étude de faisabilité sur l'évaluation de l’efficacité de différents types d’infrastructures agroécologiques (bandes fleuries, bandes enherbées, haies etc) du point de vue de la régulation des populations de pucerons vecteurs de virus, Myzus persicae et Aphis fabae, dans différentes régions de production betteravière. En tirant profit des travaux antérieurs de la littérature scientifique et technique et des premiers essais sur le réseau des fermes pilotes, ce projet souhaite proposer un dispositif expérimental à grande échelle permettant d’évaluer la pertinence d’un levier agroécologique de gestion des viroses de la betterave, basé sur l’aménagement des bords de champ avec des infrastructures agroécologiques au service de la régulation naturelle des pucerons. Le projet prend également en compte les interactions avec les contextes climatique et paysager. ACTIONS DU PROJET Action 1 :  Réalisation d’une synthèse bibliographique systématique traitant des effets des IAE Action 2 :  Amélioration de l’outil de détection et de quantification des proies chez les prédateurs Action 3 : Mise au point de la méthodologie d’échantillonnage des pucerons et des dispositifs d’exclusion des ennemis naturels Actions 4 :  Analyse statistique des résultats obtenus en 2021 sur les fermes pilotes et caractérisation des paysages autour des fermes pilotes et des conditions climatiques Action 5 : Sélection des parcelles pour tester l’effet des contextes paysager et climatique sur l’efficacité des IAE au cours des saisons culturales 2022 et 2023 Consulter la fiche de ce projet Télécharger Informations techniques Chef de file :   Durée du projet : 9 mois Début de projet : mai 2021 Partenaire financé :   CNRS Autre partenaire : ITB Projets en lien :   fermes pilotes d'expérimentation , modélisation paysagère Chefs de projet : Anne Le Ralec : anne.leralec(at)agrocampus-ouest.fr   Remonter en haut de la page

  Accueil / French National Plan for research and innovation / Plantes de services et COV (Servir) Plantes de services et COV (Servir) Des plantes de services pour altérer des paramètres épidémiologiques impliqués dans la dynamique de dispersion de jaunisses virales sur betterave. AXES DU PNRI            Axe 2 - Identification et démonstration de solutions à l’échelle de la culture Axe 3  - Identification et démonstration de régulation à l'échelle de l'environnement des plantes, des cultures et des paysages LEVIERS MOBILISES Plantes de services  |  Composés organiques volatiles (COV)  |  Stratégie push-pull RESUME Ce projet vise à étudier les dynamiques d’infestation par puceron (majoritairement Myzus persicae ) et d’infection virale, lorsque le puceron est seul ou en présence de plantes de services (PDS) ou de composés organiques volatiles (COV). Il permettra d’améliorer la compréhension des interactions entre espèces virales/ Myzus persicae /betterave impliquées dans les processus épidémiologiques (dynamique dans le temps et l’espace) associés à ces maladies. Il vise également à identifier des PDS et/ou des COV issus de ces dernières ayant un impact sur des paramètres biologiques de M. persicae  et/ou sur les paramètres épidémiologiques pour mieux contrôler l’extension des foyers d’infection. Enfin, ce projet a pour ambition de tester au champ des aménagements de culture optimisés associant la betterave à des PDS et/ou à la diffusion de mélanges olfactifs de synthèse, comprenant des stratégies push-pull. ACTIONS DU PROJET Action 1 : Etude de la latence de plantes infectées Action 2 : Identification de PDS et de COV ayant un impact sur les paramètres biologiques de Myzus persicae Action 3 :  Analyser le processus de colonisation de la parcelle par les vecteurs et les virus qu’ils transmettent Action 4 :  Etude de l’effet des PDS sur la présence de M. persicae et sur sa capacité à disperser les jaunisses virales en conditions de plein champ Action 5 : Etude de faisabilité d’une stratégie push-pull à base de PDS et/ou de COV Consulter la fiche de ce projet Télécharger Informations techniques Chef de file :   Durée du projet : 33 mois Début de projet : avril 2021 Partenaire financé :   Cérience Autres partenaires :  ITB Projets en lien :   modélisation paysagère , manipulation des pucerons par odeurs , stratégie de protection croisée Chef de projet : Emmanuel Jacquot emmanuel.jacquot(at)inrae.fr ​​​​​​​ Remonter en haut de la page

  Accueil / French National Plan for research and innovation / Sélection de variétés performantes (Flavie) Sélection de variétés performantes (Flavie) Pour une séléction de variétés performante de betteraves sucrières en solutions alternatives aux néonicotinoïdes AXE DU PNRI             Axe 2 - Identification et démonstration de solutions à l’échelle de la culture LEVIER MOBILISÉ |  Variétés  | RÉSUMÉ Afin d’identifier et de développer des variétés de betteraves sucrières performantes contre les virus de jaunisse, le projet FLAVIE s’est fixé des objectifs. Le premier objectif est de mettre au point un protocole d’évaluation des variétés commun et d’essais collectifs permettant de mutualiser les efforts entre les partenaires semenciers. Cet objectif, financé sur fonds propres en 2021 a été réalisé avec succès.  Le second objectif de ce projet est d’évaluer les tolérances/résistances d’hybrides en parcelles en 2022 et 2023 en situation d’inoculation artificielle. Les symptômes, la charge virale ainsi que le rendement et la qualité seront mesurés. Un total de 1000 hybrides minimum seront ainsi évalués avec précision sur de nombreux sites (minimum 5 lieux, confirmation sur 2 ans si besoin) pour leur potentialité rendement sous pression ou pas d’une inoculation artificielle avec chacun des 3 virus principaux responsables de la jaunisse (BYV, du BChV et du BMYV). ACTIONS DU PROJET Action 1 : Preuve de concept et mise au point de la méthode d'évaluation commune Action 2 : Évaluation au champ des hybrides Consulter la fiche de ce projet Télécharger Informations techniques Chef de file :   Durée du projet : 24 mois Début de projet : janvier 2022 Autres partenaires :  SESVANDERHAVE , DLF Beet Seed Recherche SARL (MariboHilleshög ), KWS , Betaseed Projet en lien :  Évaluation des variétés résistantes (Yellow Resist Beet), gestion de la diversité des résistances génétiques (EGOVAR), sélection de variétés tolérantes (Probeet) Chef de projet : Bruno Desprez - Florimond Deprez bruno.desprez(at)florimond-desprez.fr Remonter en haut de la page

  Accueil / French National Plan for research and innovation / Réservoirs viraux (Resaphid) Réservoirs viraux (Resaphid) Identifier par des approches moléculaires les réservoirs de virus et vecteurs des jaunisses de la betterave pour les intégrer dans les stratégies de gestion de la maladie. AXE DU PNRI      Axe 1  -  Amélioration de la compréhension de la situation sanitaire LEVIER MOBILISE Réservoirs viraux RESUME Les travaux proposés dans ce projet visent à améliorer la compréhension de la dynamique spatio-temporelle des virus de la jaunisse et de leurs vecteurs. Les avancées récentes dans le développement d’outils de caractérisation moléculaire permettent d’espérer une identification fiable des réservoirs à partir desquels les pucerons porteurs de virus colonisent les parcelles de betteraves. Les actions proposées dans ce projet visent à inférer à partir d’outils moléculaires : -    la capacité migratrice des pucerons vecteurs pour mieux définir l’unité de gestion -    les plantes-sources des virus et des vecteurs qui colonisent les betteraves pour englober ces réservoirs dans les stratégies de gestion de la jaunisse -    l’importance respective des différents réservoirs sur l’incidence de la maladie pour cibler les actions de gestion.  Ce projet  apportera également des connaissances nouvelles et opérationnelles sur la contribution des différentes populations clonales de pucerons à la dynamique épidémique. Ils permettront l’identification des réservoirs cultivés (cultures, résidus, adventices) et non cultivés à l’origine des jaunisses de la betterave.  ACTIONS DU PROJET Action 1 :  Echantillonnage des pucerons Action 2 : Génotypage des pucerons Action 3 : Séquençage des pucerons Action 4 :  Caractérisation du statut d'infection des pucerons Consulter la fiche de ce projet Télécharger Informations techniques Chef de file :   Durée du projet : 36 mois Début de projet : avril 2021 Autre partenaire :  ITB Projets en lien :  manipulation des pucerons par odeurs , stratégie de protection croisée , infrastructures agroécologiques Chef de projet : Jean-Christophe Simon jean-christophe.simon(at)inrae.fr Remonter en haut de la page

  Accueil / AGATE GC AGATE GC AGATE GC : Alternatives au GlyphosATE en Grandes Cultures AGATE GC vise à recenser les solutions alternatives aux usages du glyphosate , à les tester dans des schémas distincts selon leur niveau de maturité, et les évaluer selon des critères techniques, économiques, et environnementaux . A l’issue, le projet proposera des solutions opérationnelles , des combinaisons de solutions, et une analyse des situations critiques sans solutions disponibles transférables.  En proposant des réponses précises et pratiques, le projet accompagnera directement les agriculteurs et techniciens dans leur plan de sortie du glyphosate . Il répondra également aux besoins des décideurs politiques en apportant des résultats d'analyses d'impacts économiques et environnementaux de solutions alternatives, ainsi que des éléments concrets sur les situations critiques.  Implication de l'ITB L'ITB sera principalement impliqué dans : la mise en place et le suivi d'expérimentations annuelles et pluriannuelles l'animation d'ateliers de réflexion et conception de solutions dans le cas de situations difficles AGATE GC fait suite à la participation de l’Acta-ITA dans l’expertise usages et alternatives au glyphosate (rapport Inra janvier 2018). Les pouvoirs publics prévoient de retirer la molécule fin 2020 dès lors que les alternatives existent. La grande majorité des filières de grandes cultures sont concernées par l’usage du glyphosate. À savoir Début du projet : juillet 2019 Fin du projet : décembre 2022 Chef de file : ACTA Partenaires : ARVALIS Institut du Végétal , Chambre régionale d'Agricultre d'Occitanie , ITB, Terres Inovia   Chef de projet ITB : Rémy DUVAL Projet Ecophyto déposé dans le cadre de l’AAP Ecophyto II Procédure appel à projets national 2018 Rémy DUVAL Resp. adjoint dépt. technique et scientifique r.duval(at)itbfr.org Tél. : 06 07 87 13 48 Remonter en haut de la page

  Accueil / MoCoRiBA-GC MoCoRiBA-GC Modélisation et Communication du Risque Bio-Agresseurs en Grandes Cultures Le projet MoCoRiBA-GC a pour objectif d'évaluer la faisabilité et l’utilité d’une estimation en temps réel du risque sanitaire dans les parcelles et de l’intérêt de traitements ou de pratiques préventives locales et paysagères. Il se décompose en 3 principales étapes : Collecte et préparation de jeux de données d’essais   et de jeux de données nationaux (donnés d’épidémiosurveillance, réseau DEPHY fermes, bases IGN, RPG, …).  Mobilisation des modèles statistiques sur ces jeux de données pour à la fois  prédire le risque épidémiologique d’une trentaine de bioagresseurs en grandes cultures mais aussi pour évaluer la décision de traitement d’agriculteurs confrontés à une pression et un risque de perte de rendement identiques.  Co-conception d’un prototype d’outil d’aide à la décision à destination des agriculteurs et des conseillers par intégration de ces modèles : diagnostic des usages de protection phytosanitaire, développement du prototype et évaluation en situation d’usage.   A l’issue du projet, le prototype sera directement intégrable dans les plateformes numériques de conseil et de gestion parcellaire existants.  Implication de l'ITB Action 1 -   Préparation des données  : acquisition des jeux de données et caractérisation des distributions de pratiques et rendements  Action 3 - Co-conception du prototype d’outil d’aide à la décision : évaluation en situation d’usage.   À savoir Début du projet :  février 2020 Fin du projet : juillet 2023 Chef de file : INRAE Partenaires : ITB,  Terres Inovia , WIUZ Chef de projet ITB : Céline GOUWIE Projet déposé dans le cadre de l’AAP Ecophyto Maturation OAD Céline GOUWIE Observatoire des pratiques culturales / épidémiosurveillance c.gouwie(at)itbfr.org Tél. : 06 07 96 81 24 Remonter en haut de la page